Build In Public : Comment j’aborde les trois dernières semaines avant mon aventure en Californie

André Généré par ChatGPT

Nous sommes à J-21 du grand départ. Je pars bientôt pour mon premier batch de Bootcamps en Californie. Cet événement me remplit d’excitation, mais aussi d’incertitude. Je choisis pourtant de tout partager en mode Build In Public.

Pourquoi adopter cette transparence ? Parce que je crois en l’authenticité. Je pense que montrer les coulisses, c’est créer un lien solide avec ceux qui suivent l’aventure. Ça peut sembler risqué, mais j’y vois surtout une opportunité unique d’apprendre et de fédérer autour de la mission du Bootcamp.

Qu’est-ce que le Build In Public ?

Le Build In Public consiste à dévoiler publiquement l’avancée d’un projet, ses succès, ses échecs, et même les incertitudes. Au lieu de prétendre que tout se déroule parfaitement, on assume les galères. On laisse la communauté observer la réalité, sans filtre artificiel.

De nombreuses startups choisissent aussi cette approche. Elles exposent leurs jalons et recueillent en direct les retours de la communauté. Elles n’hésitent pas à ajuster leur roadmap, comme on le ferait avec la stratégie Product-Led Growth. Parce que quand tu vas au contact des utilisateurs, tu peux repérer les points faibles et améliorer ton produit ou service.

Pourquoi dévoiler mes doutes à trois semaines du départ ?

J’avoue que ça me stresse un peu. Je n’ai pas réservé tous mes billets d’avion. Je n’ai pas finalisé le logement pour ma famille. Nous partons à quatre, et je navigue entre excitation et inquiétude. Pourtant, je préfère jouer la carte de la transparence en mode Build In Public.

Ça me permet de solliciter des idées, de tester des solutions, et surtout de rester humain. Je crois sincèrement que cette vulnérabilité peut inspirer d’autres personnes. On pense souvent que tout doit être parfaitement organisé des mois à l’avance. Or, je fais un autre choix : avancer avec de la spontanéité, tout en restant responsable.

Les bases du Bootcamp : Immersion et apprentissage

Mon Bootcamp propose un mélange de théorie et de pratique, directement en Californie. C’est donc ainsi que j’emmène les participants à San Francisco et San Diego, pour leur faire vivre l’ambiance startup au plus près. Je l’ai déjà expliqué dans mon précédent article sur le prochain Startup Bootcamp. C’est une occasion rare d’apprendre sur le terrain.

Je pourrais jouer la sécurité, préparer chaque détail loin des regards. Au lieu de ça, je documente la finalisation de cette expérience. Je réponds à des questions en direct, je recueille les feedbacks et j’adapte le programme. C’est la force du Build In Public : la co-construction et l’engagement de la communauté.

Build In Public : Une philosophie collaborative

Adopter le Build In Public revient à accepter les retours en temps réel. Certains appellent ça la co-création ou la co-construction. Plutôt que d’imposer un plan figé, je laisse la place aux propositions externes. J’encourage par exemple mes futurs participants à soumettre leurs idées pour l’organisation.

J’utilise aussi des outils de facilitation. Si tu veux en savoir plus, j’ai écrit un article sur la facilitation graphique. Cette technique permet également de visualiser les retours. En affichant clairement les problèmes et solutions, tu peux réagir vite. C’est un atout précieux à trois semaines du grand jour.

Pourquoi ça me rappelle la création de produits ?

Créer un Bootcamp ressemble à créer un nouveau produit. Tu as une idée, tu la développes, tu testes auprès des utilisateurs, puis tu ajustes. Le Build In Public fait partie de cette démarche agile, où rien n’est figé.

Si tu lis ma page sur la nécessité de centrer ton projet sur l’essentiel, tu comprendras encore mieux le parallèle. Inutile de se noyer dans des détails cosmétiques si la valeur principale n’est pas testée. Je choisis donc d’exposer les coulisses pour m’assurer que ce Bootcamp réponde vraiment aux besoins des étudiants entrepreneurs.

La pression monte : Trois semaines intenses

Il me reste seulement 21 jours pour tout finaliser. Il faut alors, finaliser la logistique, confirmer certains workshops et peaufiner les sessions de coaching. Je dois aussi anticiper les éventuels imprévus sur place, liés à la mobilité internationale. À ce propos, j’ai rédigé un guide sur l’aide à la mobilité internationale. Il me rappelle que ce défi concerne beaucoup de jeunes, pas juste ma famille.

Le #BuildInPublic m’oblige à rester focalisé sur le but. Chaque semaine, je publie un petit update, je reçois des encouragements et même parfois des contacts utiles. J’intègre ces infos au fur et à mesure. C’est l’illustration d’un feedback loop en direct, un peu comme dans le processus agile de différenciation sur un marché saturé.

Quelques conseils pour construire en public

  1. Sois sincère. Avoue tes difficultés, tes doutes et tes imprévus.
  2. Écoute les retours. Regarde comment la communauté peut t’aider.
  3. Montre l’avancée. Publie des jalons concrets pour rendre l’aventure lisible.

Cette recette fonctionne dans la plupart des projets entrepreneuriaux. Car tu gagnes en empathie et tu crédibilises ton discours.

Mon approche pour éviter le burnout

Je n’ai pas envie d’arriver épuisé en Californie. Il faut donc que je gère mon énergie. Dormir assez, faire des pauses, et admettre que je ne contrôlerai pas tout. J’accepte l’incertitude en me rappelant que c’est aussi ce qui rend l’aventure passionnante.

Si tu veux d’autres astuces pour rester serein, je te conseille aussi la démarche de gestion de projet Agile, qui t’aide à prioriser ce qui compte vraiment pour toi. De la même façon, je priorise les tâches logistiques urgentes. Je ne perds pas de temps sur des détails secondaires.

Team “planifier tout” versus team “on improvisera”

Dans mes publications, je pose également souvent cette question : es-tu plus “Je prépare tout 3 mois avant” ou “On verra, tant qu’on a le mindset, ça passera” ? Je pense qu’un équilibre existe entre ces deux extrêmes. L’important, c’est de rester flexible et ouvert au feedback.

Si je préparais tout à l’avance, je risquerais sans doute de manquer des opportunités qui se présentent en cours de route. Si j’attendais le dernier moment, je subirais un stress trop grand. Grâce au Build In Public, je trouve un juste milieu. Je partage mes blocages, et parfois, quelqu’un me propose une solution que je n’aurais pas imaginée.

La force d’une communauté soudée

Le #BuildInPublic renforce la dimension collective de mon projet. On a tendance à croire qu’il faut paraître parfait pour convaincre. En réalité, les gens apprécient l’honnêteté. Ils offrent volontiers leur aide quand ils se sentent impliqués.

Le Bootcamp ne sera pas seulement mon histoire. Il sear aussi une aventure partagée avec tous ceux qui suivent mes updates et me soutiennent. Cela rappelle les principes que j’évoque dans la facilitation graphique, où chaque acteur peut ajouter sa voix, ses idées, et s’approprier le projet.

Et après ces trois semaines ?

Une fois en Californie, je continuerai le #BuildInPublic. Les workshops, les sessions de networking, les rencontres imprévues, tout sera documenté. J’espère en ressortir des leçons concrètes, applicables à d’autres projets. Cette transparence sert aussi à inspirer les étudiants entrepreneurs qui me suivent.

J’aborderai peut-être des sujets comme comment créer un nouveau produit quand tu es directement sur place, au contact d’incubateurs. Je partagerai comment j’ajuste mes objectifs selon les retours, toujours dans l’esprit “open”.

Le mot de la fin : Rejoins l’aventure

Si toi aussi, tu es curieux de voir comment évolue ce Bootcamp en mode Build In Public, reste connecté. Commente, pose des questions, partage tes anecdotes. À chaque fois que je ressens une baisse de motivation, je relis vos messages, et je retrouve la flamme.

Cette dynamique me rappelle combien l’entrepreneuriat peut être collectif. On ne réussit pas seul, et on ne devrait pas cacher ce qui ne va pas. La vraie force, c’est l’échange. Alors, embarque avec moi ! Dans trois semaines, je t’enverrai peut-être un petit “update californien” depuis San Francisco ou San Diego. On verra bien quelles surprises nous attendent.

Merci de m’avoir lu. Si tu veux découvrir plus d’astuces pour lancer un projet ambitieux, lis mon article sur comment éviter les échecs startup. Ou consulte ma page sur la valorisation d’une startup si tu vises plus haut encore. Quoi qu’il en soit, n’oublie pas : le Build In Public peut transformer ta façon de travailler.

Enfin, si tu veux en savoir plus, sur mon bootcamp en Californie va consulter le site officiel: The-Valley.co !

André Généré par ChatGPT
André Généré par ChatGPT 🤣 Il m’a bien vieilli le copain Sam 😅

Ecrit par André De Sousa

Coach Agile et Fondateur de The Valley, je me consacre aujourd'hui à accompagner les organisations et équipes dans leur transformation agile, tout en organisant des Learning Expeditions, et des Startups Bootcamps en Californie pour aider les étudiants entrepreneurs à passer de l'idée à l'action dans des environnements dynamiques et inspirants. Fort de plus de 15 ans d'expérience dans la tech, dont 14 dédiés à l'agilité, j'ai eu l'opportunité de coacher, mentoré et animé une vingtaine d'équipes adeptes de Scrum, XP ou Kanban, tout en soutenant des entreprises dans leurs défis de transformation. Mon expérience inclut également une "fail startup" avec Vivalur qui nourrit ma mission : guider les entrepreneurs pour éviter les erreurs communes et maximiser leurs chances de succès. Aujourd'hui, je combine mon expertise en agilité, innovation et entrepreneuriat pour aider les équipes et les étudiants entrepreneurs à réinventer leurs pratiques, bâtir des produits de valeur, et embrasser le changement avec confiance.

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