Imaginez un monde où un étudiant peut:
👉 Identifier un problème,
👉 Concevoir un produit,
👉 Le développer,
👉 Le commercialiser…
… tout seul ET surtout en quelques jours à quelques semaines. 🚀
De plus, ce jeune entrepreneur peut entreprendre sans attendre des aides financières trop complexes. Il peut déjà initier son projet de création d’entreprise et tester sa faisabilité.
Ce n’est plus de la SF, mais bien de la réalité que l’IA rend possible. Et je ne parle pas de l’année prochaine ni de demain, mais bien d’aujourd’hui !
Une Génération au pouvoir 🚀
Les étudiants entrepreneurs d’aujourd’hui n’ont jamais été aussi puissants:
- L’IA, couplée à du no-code, leur permet de créer une start-up et de valider leur business model à une vitesse folle.
- Ils font partie de la Gen-Z et Gen-Alpha : Donc facile de comprendre les codes, les besoins et les attentes de leur génération.
- Ils rejettent les schémas traditionnels : “Je ne veux pas travailler comme mes parents.”
- Le besoin en capital initial n’a jamais été aussi faible, et des fonds spécialisés pour créateurs d’entreprise émergent partout, même en Europe (Coucou Campus Fund !), souvent soutenus par des acteurs comme BPI France ou d’autres financeurs.
Si vous mettez tout ça ensemble: cela vous donne une crédibilité sans précédent. C’est fini le temps où ils ne parlaient que d’idées bancales ou de pitchs uniquement: Maintenant, ils montrent de vrais produits utilisables !
Un changement de paradigme💡
Autrefois, être étudiant signifiait :
1️⃣ Être trop jeune pour être pris au sérieux par l’école, les investisseurs, les clients, bref par tout le monde en fait ! 😅
2️⃣ Il fallait attendre un “bon job” pour se lancer.
Aujourd’hui, tout ça est fini. Les porteurs de projets peuvent concrétiser leur projet entrepreneurial avant même d’ouvrir leur micro entreprise ou de choisir la forme juridique.
Les étudiants testent des idées en temps réel, mobilisent des outils puissants et… lèvent des fonds 💸
Les investisseurs comprennent tout de suite leur potentiel. Des fonds dédiés se créent pour les soutenir et encourager l’entrepreneuriat.
Mon rôle dans cette histoire ?
10 ans que j’accompagne des étudiants à travers différentes initiatives d’accompagnement à la création. Je vois donc des porteurs de projet oser créer leur entreprise, parfois après une simple étude de marché. Maintenant, il est temps de consolider l’ensemble et être l’accélérateur de cette génération.
👉 Le Y Combinator des étudiants entrepreneurs européens (nan je n’ai pas peur de le dire 🤩), et cette vision se décline déjà dans ma roadmap. Je veux aussi structurer un écosystème autour d’eux, avec des incubateurs, des dispositifs d’aide à la création ou reprise d’entreprise et des partenaires comme les chambres de commerce et d’industrie (CCI).
Je crois vraiment en leur potentiel, mais aussi en leurs produits, qui répondent aux besoins des nouvelles générations.
Mon objectif :
- Leur offrir les outils et le réseau dont ils ont besoin (pépinière, réseau entreprendre, crowdfunding, etc.).
- Leur permettre d’aller encore plus vite, plus loin, grâce à un accompagnement personnalisé et des financements adaptés.
- Leur donner le bon mindset: celui des builders et non des administratifs qui passent leur temps à pitcher ou à peaufiner un Business Plan sans action concrète.
Parce que je suis convaincu qu’un étudiant d’aujourd’hui peut devenir la licorne de demain 🦄
Les innombrables outils disponibles
De nombreux dispositifs soutiennent la création d’entreprises innovantes, la reprise d’entreprise ou l’amorçage de projets, notamment pour jeune entrepreneur : 🚀
- Les aides à la création d’activité comme l’ACRE, qui offrent parfois une exonération de charges sociales sur les premières années.
- Les aides financières ou subventions pour les jeunes entreprises innovantes (JEI), qui peuvent bénéficier d’exonération de cotisations patronales.
- Les prêts d’honneur à taux zéro, proposés par des réseaux comme Réseau Entreprendre ou Initiative France.
- Les incubateurs publics et privés qui accompagnent les créateurs d’entreprises innovants, souvent en partenariat avec la Caisse des dépôts.
- Les plateformes de crowdfunding qui facilitent l’apport personnel et mobilisent les fonds propres nécessaires.
- Les organismes comme bpifrance qui proposent du financement, des prêts bancaires ou des garanties pour encourager l’entrepreneuriat.
- Les chambres de commerce et d’industrie (CCI) et chambres de métiers et de l’artisanat (CMA) qui orientent vers la création ou la reprise d’activité.
- Les formalités simplifiées pour créer son activité d’auto-entrepreneur, micro entrepreneur ou encore SASU.
- Les dispositifs NACRE permettant d’être accompagné lors des étapes de la création et de bénéficier d’un prêt NACRE.
- Les concours d’entrepreneuriat, souvent soutenus par le ministère de l’enseignement supérieur, qui récompensent les porteurs de projet.
- Les allègements fiscaux (comme le crédit d’impôt recherche) dédiés aux entreprises innovantes souhaitant innover en R&D.
- Les aides publiques pour les demandeurs d’emploi désireux de reprendre une entreprise ou de lancer un projet de création d’entreprise.
Ainsi, tous ces leviers permettent au jeune entrepreneur de développer son entreprise ou sa startup rapidement.
Ils facilitent également la gestion d’entreprise, du plan de financement aux exonérations de cotisations sociales.
Et vous ?
Comment voyez-vous cette génération qui transforme déjà l’économie actuelle ?
Pensez-vous que j’ai craqué et qu’on est loin de cette vision ? J’aimerais votre avis sur la question.
Je suis André De Sousa, le Fondateur des Startups Bootcamps The Valley. Bootcamp pour jeune Entrepreneur qui souhaite lancer son projet de Startup durant ces études. Alors, si tu veux en savoir plus, n’hésites pas à me contacter pour que l’on échange là-dessus.
❤️
PS: J’ai pris cette photo à Stanford il y a quelques années. J’aime ce mantra de doers : « Do Epic Shit & Get Shit Done !«
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